Argumentaire reçu de Michel GUERITTE michel.gueritte@dial.oleane.com
https://www.villesurterre.eu/index.php?option=com_content&view=article&id=640
Monsieur le Commissaire
Je vous adresse ce mail pour vous dire pourquoi il ne faut pas construire la blanchisserie nucléaire UNITECH à JOINVILLE-EN-CHAMPAGNE.
Je porte à votre attention ces 37 arguments :
L'ensemble des 37 arguments a été rédigé à partir de ce document.
Conclusion
A l'évidence, le projet UNITECH ne tient pas la route : non seulement les normes ne sont pas respectées, mais les risques encourus sont démesurés pour l'environnement et pour les riverains.
Je vous demande donc, Monsieur le Commissaire, de retranscrire dans votre rapport un avis défavorable argumenté.
Enfin, parce je crois que cela est de votre compétence, merci d’organiser une réunion contradictoire à JOINVILLE-EN-CHAMPAGNE, afin de débattre sérieusement sur ce projet que la population refuse.
Cordialement
Michel GUERITTE
Abonné à notre NewsLetter, à vous de jouer
Voilà, le mail ci-dessus est celui que j'ai envoyé au Commissaire enquêteur. Vous pouvez le transférer, le forwarder, le renvoyer, vous aussi au Commissaire enquêteur, à cette adresse :
pref-enquete-unitech@haute-marne.gouv.fr
Vous pouvez l'envoyer tel quel.
Vous pouvez le modifier, le compléter.
Demandez qu’on vous adresse un accusé de réception.
Madame la Préfète nous encourage à participer à l'Enquête publique
Vous répondrez ainsi à la demande de Madame la Préfète de la Haute-Marne, Elodie DEGIOVANNI, qui a déclaré, le 28 octobre dernier, aux représentants des associations du G7-contre-Unitech :
"Aidez-moi à vous aider"
"Aidez-moi à vous aider. Utilisez la plénitude de vos responsabilités de citoyen et de responsable d'associations, afin d'être certain que votre voix est entendue. On peut déplorer l'absence de transparence, mais tout ce que vous serez à même de dire sera clairement retranscrit, de sorte que je puisse en tenir compte pour prendre la décision la plus éclairée possible. Et quel que soit le sens de cette décision. Aidez-moi à vous aider à avoir encore plus foi dans les institutions de la République."
Le problème, c'est qu'en matière de projet nucléaire, nous savons que ce n'est pas la Préfecture qui décide, mais la DGEC, donc le Ministère de la transition énergétique, donc le Ministère de l'Intérieur.
Le projet UNITECH étant directement lié au projet CIGéo, (mesure d'accompagnement), il va de soi qu'il est déjà sur les rails. Quelle que soit la conclusion des Commissaires enquêteurs, la Préfecture de la Haute-Marne se contentera de transmettre une autorisation qui viendra de Paris...
Alors : boycotter l'Enquête publique ou participer massivement ?
A vous de juger.
Evidemment, si, grâce à internet, aux réseaux dans lesquels vous aller relayer ce mail, des dizaines, des centaines, des milliers, de citoyens envoient cette liste d'arguments, les Commissaires enquêteurs vont devoir embaucher des secrétaires...
Mais la rédaction de la Conclusion des Commissaires enquêteurs, Jean-Pierre GADON, Yannick PICARD et Bernard RORET, qui ne sont pas des "perdreaux de l'année" (dixit la Préfète), sera facile. On pourrait même dire qu'elle est déjà faite...
L'adresse internet pour lire les dossiers
L'ensemble des 104 documents consultables ont été mis en ligne sur le site Internet de la Préfecture, le 11 novembre 2019 entre 11 h et 17 h. Nous n’avons donc pas tout épluché.
Les 104 liens sont sur cette page.
Des mises à jour pourrait être publiées au cours de l'enquête. Vous trouverez des informations actualisées sur cette page.
L'ensemble des 17 premiers points du mail a été consigné dans le Cahier d'acteur n°58, dans le cadre du Débat public du PNGMDR, Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs. Il est sur le site de la CPDP, Commission particulière du Débat public.
L'ensemble des 37 arguments a été rédigé à partir de ce document.
Relayer dans vos réseaux anti-nucléaire, écologie, associatifs, amis, famille...
Merci de vous comporter en bon citoyen, plein de bon sens, et de contribuer à empêcher la réalisation de ce projet fou.